>> Toutes les rubriques <<
· Poésie sensuelle (51)
· Poésie d'amitié (36)
· Poésie d'amour (90)
· Poésie pour Gigi (37)
· Poésie pour L.. (54)
· Nature et voyage (60)
· De tout et de rien (88)
· Écris comme ça... (88)
· Poésie triste (52)
· Poésie pour D... (25)
lysia, je souris a ton fantasme, c'est merveilleux.
maxime, c'est la nostalgie du passé. que veux-tu de plus
Par Le Pascalois, le 12.10.2025
effectivement, ce sont de très belles femmes. ces femmes sont proche de moi par le sang. je les aimes et respe
Par Le Pascalois, le 12.10.2025
j'ai effectivement une préférence pour la blonde... mais la brune est loin de me laisser indifférent.. .
Par Maxime, le 12.10.2025
les douleurs des blessures anciennes, l'arthrite et l'arthrose qui limitent mes mouvements... voila ou j'en su
Par Bertino, le 03.09.2025
tu as juste fait du bedon..ah! ah! tu sembles encore bien musclé. tu es toujours séduisant. bravo
Par Nina la petite Gar, le 03.09.2025
· Ta beauté
· Prière à ma femme décédée
· La beauté de tes yeux
· Fesses de femme
· L'amitié à distance
· Tes seins
· Fais-moi l'amour
· La beauté de la nuit
· Tes yeux d'émeraude
· Sombre solitude
· Passion
· Beau message
· Vertiges de la soixantaine
· Prends-moi dans tes bras
· J'ai envie de toi
Date de création : 17.09.2013
Dernière mise à jour :
03.09.2025
625 articles
TU ME MANQUES
Trois petits mots fragiles, qui côte à côte supportent une montagne de vide.
Trois petits mots désuets, tellement employés qu’ils en paraissent parfois dérisoires, voire niais.
Une petite phrase dont on ne connaît jamais vraiment le sens.
Des lettres qui portent en elles la solitude et les cordes qui pendent des plafonds de la violence.
Tu me manques… c’est la phrase qu’on utilise lorsqu’on perd pied.
C’est un appel au secours, un SOS lancé à la surface de la mer qui coule.
Tu me manques, c’est ouvrir en soi les faiblesses et reconnaître qu’elles sont en train de nous dévorer la chair.
Tu me manques… c’est de tous les poèmes, le plus long que l’on puisse faire.
Tant de torture, tant d’étranglement...
Tant de blessures, de déchirures…
Une demande de sauvetage, une supplication presque sauvage.
Tant de douleurs, pour tant de silence.
La vibration de cette phrase n’a rien de banal. Les mots sont tous des clés qui associés, jouent des notes un peu spéciales.
Tu me manques, c’est savoir ce que l’on perd… c’est s’apercevoir de ce qui était important quand on l’oubliait hier.
Mais cette phrase minuscule résonne jusqu’à l’espace qu’elle embrasse.
On pourrait presque voir battre son cœur, on pourrait peut-être entendre murmurer son âme…
Elle est une prière sans aucune frontière, un refrain qui n’a pas de langue.
C’est une main qui en prend une autre et que l’on tend vers demain… un écho de sens qui parle un jour ou un autre... à chaque être humain.