Poésie pour L..

Je croyais avoir perdu une amie, celle qui m'a vraiment permis de survivre, de sourire et de reprendre vie. Je croyais qu'elle s'éloignait de moi, qu'elle avait peur de moi car je lui ai dit:«Je t'aime». Je croyais être devenu son pantin et qu'elle utilisait la souffrance de mon coeur. Dans mon impatience, je me suis trompé, je l'ai très mal jugé, rien ne peut me pardonner. J'avais écrit les mots suivsnts.

Je pensais que l’étoile qui veillait sur moi
Était une personne que j’avais aimé autrefois
Mais le ciel a voulu que je me trompe à son compte
J’ai souffert de l’aimer j’avais presque honte...

Je l’ai cru aussi, mais moi je le vis encore aujourd’hui,
Terrible supplice que ma fait vivre une amie,
Je n’arrive pas à oublier, me dire que c’est fini,
Ce cauchemar me poursuit, même au cœur de la nuit…

J’essayais avec tant de mal d’éviter mes souvenirs
Je pleurais chaque fois que je me rappelais ses dires
J’avais du mal à retenir mes brûlantes larmes
Mon coeur voulait haïr, consumer de haine mon âme...

Cette maudite page, aujourd’hui, je voudrais la déchirer,
La haïr, impossible dans mon coeur, comment l’oublier,
En faite, l’illusion était que j’avais le cœur brisé,
Je voulais protéger cette amitié que j’ai tant aimé…

Moi je vais chaque jour regarder son sourire,
Mais dès que je vois ses photos, cela me déchire,
Cela ma fait tant de mal, mais la vie pourtant,
Ne permet pas de tout oublié, comme si c’était du vent…

Le vent aurait bien balayé l’amour que je lui porte
Et le temps m’avait aidé et avait fait en sorte
Que j’apprenne que personne n’est parfait
Et que dans la vie il y a bien quelqu’un sur qui compter...

La vie nous apprend chaque jour de nouvelles choses
Ca peut nous faire du mal, nous inciter à faire une pose
Mais ca m’aide a me relever après être très bat tombé
Forger à partir de mes erreurs, une nouvelle personnalité...

 Je lui demande pardon dans l'article suivant. J'ignorais qu'elle était dans la peine. J'ignorais que son coeur était dans la souffrance. Je m'en veux ce cette réaction prématurée, mais je dois dire qu'elle l'a un peu cherché par ses pudeurs, ses silences et sa circonspection envers moi.

Mon amie que j'aime, parle-moi, crie-moi tes peines, avoue-moi tes rêves....c'est mon plus grand désir....