Écrits de Bertino
Pensées, réflexions, photos et poésie qui au fil des jours écrivent les couleurs de la vie
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quel beau texte sur le crépuscule du jour. bravo pour le mélange des couleurs et le jeu d'ombre sur ta personn
Par N. Dubois, le 27.11.2025
photo de moi et je suis hétéro http://chatala rose.centerblo g.net
Par Bertino, le 13.11.2025
tu te donnes a un homme ou a une femme? est-ce une photo de toi. http://chatala rose.centerblo g.net
Par Nathan Dubois, le 13.11.2025
merci manon. j'éprouve beaucoup de difficultés du a mon vieillissement et toutes les problèmes physiques. le t
Par Le Pascalois, le 05.11.2025
tu as raison bertino, c'est un dur métier et cela même si tu le fais a demi-temps ou pour des occasions spécia
Par Manon, le 02.11.2025
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Date de création : 17.09.2013
Dernière mise à jour :
03.12.2025
633 articles
J’ai effleuré un rêve juste du bout des doigts
Attisée par la fièvre qui sévissait en moi
Il a la forme étrange d’un amour impossible
Et cela me dérange s’il devient invisible
J’ai caressé ce corps rien qu’en le devinant
Sans faire des efforts alors le dessinant
La douceur de sa peau est dans mon souvenir
Provoque dans mon cœur des milliers de soupirs
Je m’échoue sur la grève de son regard si pur
Qui me noie toute entière de sa couleur azur
Et me laisse dériver au gré de la passion
Emportée par les flots de toutes ses émotions
J’ai effleuré un rêve les paupières fermées
A l’aube qui s’éveille pour ne pas l’effacer
Source : https://www.poesie-damour.com/2024/06/poemes-amoureux-passionne.html#h3-po-me-n-5----j-ai-effleur--un-r-ve-
Le ciel se pare de teintes flamboyantes,
Comme une toile abstraite aux couleurs mordantes.
Les oranges, les roses et les pourpres se mêlent,
Dans un ballet magique où le soleil se révèle.
Derrière l'horizon, le soleil s'enfuit doucement,
Offrant ses derniers rayons à la terre avant l'instant.
Les tons dorés, le ciel envoûtant,
Signent ainsi la fin d'une journée fascinante.
Le crépuscule enveloppe la nature de sa douceur,
Un calme apaisant, une quiétude à l'odeur.
La nature se repose, les bruits s'adoucissent,
L'harmonie s'installe, les âmes se chuchotent des promesses.
Le paysage s'efface peu à peu,
Dans une semi-obscurité qui se joue des yeux.
La lune, éclairant timidement l'horizon
Dévoile un tableau captivant, un vrai don.
Trouvé sur le net : Auteur inconnu
Le corps des hommes
Etait son terrain de jeu
Caresser, embrasser,
Oser toujours plus
Résister un peu
Puis se donner
Sans retenue
Donner, prendre, offrir
Un torse qui se dévoile, la
Nature qui prend le pas sur l’
Humain; humaine nature
Obscène comme l’animalité
Masculine comme les courbes
Mutines de ton corps désormais
Esclave de son exclusif amour.
© Poème posté le 27/12/2007 par Lauravanelcoytte
Dans la lumière et ses rayons soudains
Le cœur t'aime jusqu'aux veines profondes,
Ton corps mi-nu brille comme fleurs de jardin
Tu es les fragments magnifiques du monde.
Reste toi-même, avec ton calme et ta douceur,
Le beau jardin te prêtera ses zones d'ombre
Le pourpre de la belle saison sera ta couleur
Et tes lèvres seront des roses sans nombre.
Oh ! Tes cheveux, tes yeux, la fleur des chairs,
Tout est similitude, image, attrait, beauté, lien
Ton odeur parfume les corps jeunes et chers,
Tout s'embellit et se mire, ô femme, si bien.
Ô belle Dame à l'amour câlin et réchauffant,
Si tu veux savoir et connaitre où la clarté réside,
Laisse moi te baiser le front, comme un enfant
Car sous ce front se trouvent les feux lucides.
Dans ton buste et sous ses grappes de roses,
Ta folie craintive de mes chaudes caresses
T'es la fine sève et puissante des choses,
Qui allume mes désirs et attise ma détresse.
© M.Riahi
Source : https://www.poesie-damour.com/2024/06/poemes-amoureux-passionne.html
Entre les perles de sueurs
La chaleur est a son maximum
Corps cambrés sous la pression
Main au mont de Venus, accroche toi
Rivés aux rythmes des vas-et-viens
Le souffle coupés, le souffle repris
Veux tu encore orgasmer
C'est l'action d'une fusion
Des rêves et des voluptés
Sensuelles et forte utopie
Saupoudré par la confiance
Main et doigts contre pubis
Dépasse tes fantasmes, fume l'euphorie
Tombe et nage dans l'hédonisme
Exalte l'agonie du profond désir
Souffle lent et profond
Le corps est à l'apaisement
L'esprit retrouve sa félicité
De leurs pas gracieux,
Les chats avancent sans bruit
Tel des danseurs sur un fil,
Effleurant le sol avec finesse.
Leurs yeux, perles lumineuses,
Un éclat rare qui séduit
Dans les ténèbres, ils brillent
Comme des astres dans la nuit.
Les chats, tendres et affectueux,
Viennent se blottir contre nos cœurs
Leurs ronronnements mélodieux
Réconfortent nos âmes en pleurs.
Les chats, confidents muets,
Présents lors des nuits sans fin
Nous guide vers une félicité
Qui ne se trouve qu'en leur sein.
Les chats errent sous les étoiles
Sans contrainte ni attache
Ils dansent avec la nuit, sans voiles
Libre tel des félins en moufle.
Texte trouvé sur le net
Oh! Quel beau mâle...
Applaudissement et soupirs
A son apparition sur le podium
Oui, il est bel animal...
Les défilés sont son empire
La scène est son atrium
Il est de type caucasien
Athlétique et baratineur
Pour les dames, un butineur
Il est de corps mannequin
Il reçoit tous les honneurs
Sous les flashs des projecteurs
Il est le plus souvent mi-nu
Son corps est beauté à l' état pur
Les photographes le capture
Au quotidien, un corps entretenu
Le temps.... déjà les courbatures
Au miroir, chute la musculature
Puis avec effroi le rêve s'écroule
La vie de mannequin est dure
Chute des atours... c'est le mur.
Bertino le Pascalois
Le Chat a la Rose
Mon âme n'a cessé de louanger sa maison
Étalage de beauté, odes écrites sans raison
Tel : douceur et rondeur de mes fesses
Forme de beauté, création divine, je confesse
Sécurité dans les relations qui m'attirent
Espoir ou le bonheur s'abrite conquérant.
Mon corps, voiture de mon âme, sa demeure
Elle me dit ce qu'elle aime, oh; charmeur
Battement de cils, frémissement de peau
Un reflet de l'âme ou se reflète l'oripeau
Sur mes contours doux et courbes fines
Le beauté de mon corps était mon endorphine
Qu'est devenu ce tabernacle tant adulé
Incapable de marcher, de brimbaler
Navire sur le rivage de la vie, vieillissant
Attendant l'oeuvre fatale du pourrissement
Trésor dilapidé convoité par les asticots
Qui se feront plaisir a déguster le fricot
Bertino le Pascalois
Le Chat à la Rose
Innocemment devant ton miroir
N'imaginant que nul peut te voir
Dénudé, tu contemples ta beauté
Ignorant que ton amant est appeuter
Sans bruit, il deviens voyeurisme
Contemplant, réveillant l'épicurisme
Revivant l'onirique des plaisirs
Étioler ce moment pour réfléchir
Tarabiscoter ses idées sans défaillir
Indiscrètement retour à ses activités
Obliquer pour ne pas succomber
Nier a soi-même le désir ressuscité.
Bertino le Pascalois
Le Chat à La Rose
Maintenant que tu m’as chevauché,
Virtuose de ton orgasme,
De sa venue, de sa puissance.
Que tu m’en as offert joyeusement,
Sans pudeur, le cri et les saccades,
Tu ne me laisses pas venir en toi.
Vive et agile comme une anguille,
Tu te glisses entre mes jambes
Et tu me prends dans tes doigts
En me griffant les seins.
Je me cambre sous les caresses,
A la pointe de tes lèvres
Je palpite de l’envie de jouir
Que tu te régales à sentir monter
Que tu serres très fort.
Dix fois ainsi, tu me retiens à l’extrême.
Quand j’explose, de ta main le plaisir
Gicle sur moi en jets épais et gluants.
Gourmande, tu en lapes les traces
Sur mon ventre, mon torse, mes lèvres.
Mais, mystère qui m’échappe,
J’ai senti les remous qui t’ont agitée,
Tes cuisses se durcir. Tu as joui
De mon plaisir, je crois. Tu me désires,
Tu m’aimes donc à ce point
Bertino le Pascalois
Le Chat à la Rose